Poètes à vos plumes

Bon alors étant une m**** en dessin pale

, je decide donc de lancer un post, sur mon "don": l'écriture Mr.Red

. Voilà, alors si comme je l'espère il y a des poetes en herbe parmi vous... faites vous lire. colors

Merci de pas me laisser seule... confused

ps: je posterai mon premier poeme demain, car la I don't want that

dodo....

Comme promis voilà mon premier écrit:

Pourquoi ne veux tu pas être
L'amant, de la folie qui se meurt d'amour pour toi.
Cette folie qui me ronge
Et n'existe que pour te servir.

Cette puissance qui m'aide à survivre
Au delà de tous les films,
Qui me traverse la tête
Et me font éclater de haine.

Ce sentiment perce mon coeur, et saigne.
Perturbant ma raison,
Et je perd le contrôle de mes pensées.

Un trouble immense s'empare de moi,
M'exaspère et triomphe de ma foi.
Je succombe et tombe.

lucy

ébé ^^
je vois que le niveau est assez élevé ^^
bon celui que je vais vous mettre, je l'ai écris il y a un petit moment pour exorvciser tuot ce qui est raconté dasn ce pome (assez pessimiste dje dois l'avouer)

J'ai fais une grossière erreur,
Mais jamais je ne cicatriserai.
Je me ferais oublier n'aie pas peur.
Je t'offrierais bien une roseraie,
Pour te prouver qu'encore je t'aime,
Mais ca serait te torturer quand même,
La vie est ainsi faite.
Mais je ne reviendrais pas même si tu es prête,
Même si tu veux à nouveau de moi,
Car j'ai vraiment honte de tout cela.
La seule femme que j'aime vraiment,
Que je promet d'être honête,
Pour ne pas te blesser je te mens.
Finalement vaut mieux que tout s'arrête.

C'était un accident,
Faudra vivre avec cela,
Laisser faire le temps,
Peu être que la vie nous sépareras,
Au fond de moi je le souhaite.
Ainsi tu n'auras plus à te torturer.
Et puis un jour peu être
On se reverra, et en toute intimité,
Je m'excuserais encore.
Mais je ne t'aimerais plus.
Mon coeur seras mort,
Mort de t'avoir profondément déçu.
J'aimerais m'enfuir avec toi,
Et oublier toute cette histoire.
Mais ça ne marche pas comme ça.
Il faut assumer et rester sans espoir.

Notre vie est unjuste.
Pourquoi vivre l'amour,
Alors que je ne suis meme pas capable,
Et cela a courru à notre perte.
Maintenant je ne fais plu rien pour,
Même si tout cela m'accable.

Oublions-nous.
Au début ça sera dur,
Mais avec de la chance,
On oubliera presque tout.
On oubliera pas cette torture,
Et souvent avec mes larmes j'y repense.

Oublie moi!
Je ne suis plus digne de toi.
L'amour t'y as droit,
Sûrement pas avec un maladroit.
J'étais ton prince,
Je suis ton boureau,
Je serais un souvenir.
Un être banal,
Un être normal,
Mais quand même le pire.

Vole très haut,
Et retente ta chance.
Je t'aime encore,
Mais la vie veux mon corps.
Je vis mais je suis mort.
Mort de te faire souffrire encore...

cette réaction n'est pas négative c'est juste que ton poeme m'a rappeler certaine chose d'une période douloureuse de ma vie.... enfin bref. thumright

Bah, je ne suis pas le seul a etre passé par la c'est normal hein Wink

le prochain que je vais mettre est pas triste, mais pas joyeux nomplus, mais ca reflete bien un probleme qui doit en emmerder plus d'un.

OK de tte façon tous mes poemes je l'ai est ecrit lors de ma ruptures avec mon grand amour donc ils ne seront pas joyeux. Il n y a que dans ces situations que j 'arrive a écrire.

Oui en général les forts sentiments aident beaucoup a écrire, d'ailleurs ca peutr arriver aussi quand on est vraiment tres hereux, seulement on écris pas forcément parcequ'on a pas envie d'exorciser ce bonheur Razz

Je trouve très joli ce que je vous ai écrit. Voilà un poème que j'ai écrit à ma rupture avec mon premier véritable amoureux :

Pleure, pleure petite enfant,
Tu n'as que 18 ans.
Tu commences ta vie,
Tu pleures et tu ris.

Un jour c'est oui, un jour c'est non,
Seulement tu dois changer de chanson.
Tu vas t'épanouir et grandir,
Tu vas souffrir de vivre.

Relève-toi et regarde au-delà,
Cesse de vivre là-bas,
Dans tes rêves et pensées,
Qui t'éloignent de la réalité.

Pleure, pleure petite enfant,
Tu n'as que 18 ans.
Tu commences ta vie,
Tu pleures et tu ris.

Il faut grandir maintenant,
Tu n'es plus une enfant.
Regarde-toi dans ce reflet,
Regarde un peu ce que tu fais.

La vie est un don, un cadeau,
Regarde-le, il est si beau.
Tu commences ta vie,
Tu pleures et tu ris.

Encore un poeme dont la source est une rupture...

il m'a lair beaucoup plus positif que les nôtres, willowdé ^^

Olala comment vous faites sa? J'ai jms vraiment reussi a ecrir un poeme! MAgnifique le tien WD!!!! Sa ma tro touché!

Une tite chanson que j'ai écrite sur les guerres de religion (notamment celle des musulmans en ce moment).

Je bascule vers les rues de l’Ombre
Sombre
Et je regarde tout autour de moi
Croix
Qui s’avance vers la lumière des bombes ?
Et qui ressort d’un palais sans toit ?

Je bascule vers les rues de Larme
En flamme
Et je marche sans y croire vraiment
De sang
Pourquoi Dieu offre-t-il des armes
En cadeau aux enfans ?

La sombre croix en flamme de sang
Se retourne et demande
Qui sont vraiment les gens
Tous ces gens qui se parlent et puis sang sentiment
Qui se jettent sur leurs armes pour aider leur regiment
Dans les rue de l’Ombre
La lumière est bannie
Et le beau temps s’enfuit
Vers un ciel moins gris
Vers une terre moins rouge
Moins meurtrie et plus saine
Où les oiseaux peuvent vivre sans craindre qu’on les saigne

La pauvre croix en cendres de temps
S’effondre et se casse
Foudroyée d’épuisement
Mais les armes des gens redoublent de glace
Et dans ce desert gris aucun ange ne passe
Dans les rues de Larme
L’indifférence est reine
Au sort des autres qui meurent et puis s’enchainent
Ils s’enchainent entre eux, ils s’enchainent pour Dieu
Pour un Dieu qui regarde en refermant les yeux.
Mais dans les rues de l’Ombre
La lumière est bannie
Et la pluie se cascade sur un peuple maudit.

Et en voila un de moi Mr. Green

De l'ombre à la lumière

Suis-je arrivée au bout du chemin?
Celui qui longe les ravins
Là où les pierres dévalent
Où chaque faux pas peut être fatal
Le sol est jonché
De ronces aux pointes acérées
Creusant sans cesse les blessures
Qui demeurent ouvertes et perdurent
L'obscurité envahissante
Les plaintes incessantes
Le froid mordant
Le vent hurlant
Ce sentier escarpé
Où se mêlent cauchemar et réalité
Est-il derrière moi à tout jamais?
La lumière semble proche désormais
Un pas et je l'atteindrais
Un pas et je m'évaderais
Mais si ce n'était qu'un leurre
Si le sentier était une boucle de malheurs
Sans cesse je devrais y marcher
Jusqu'à en être épuisée
Jusqu'à abandonner
Et dans les ténèbres me laisser glisser
Mais la lumière s'intensifie
Le jour succède à la nuit
Une chaleur bienfaisante
Parvient à mon coeur
Et les plaies guérrissantes
Se refèrment en douceur
Une main se tend pour m'aider
A franchir le dernier pas
Je prie pour qu'elle ne me laisse pas tomber
Sera-t-elle celle qui me sauvera?

Aller 2 ème création:

Je marche...

Il fait sombre et je marche,
Vers cette infinité sans fin.
Je dérive dans le noir,
Mon âme s'évanouit parmis les ombres.

Mon regard se perd
Dans les reflets de la lune.
Je cherche ta présence à mes côtés,
Mais personne ne me tend la main.

Je suis seule, tu es loin
Où? Je ne sais pas.
Pourtant ta voix résonne ...

Je continue à chercher tes yeux,
Dans le brouillard tout est flou.
Soudain quelque chose se brise en moi
Et me rappel que tu n'es plus là.

Un plus "marrant" inspiré par une nana de ma fac, véridique !

Filles en carton

Comment tu me trouves aujourd’hui ? Mais regarde-moi !
Regarde-moi j’te dis !
Je suis si jolie...
Si polie et si gentille...
Je fais tout pour être aimer
De tout le monde être adulée
Je souris, je dit oui !
J’ai un avis sur tout
Enfin sur tous les magasins
De la rue de Rennes à Rivoli
Je me demande pourquoi on finit par me détester
Mais finalement, je ne sais même pas si j’en suis attristé
De toute manière j’ai trop de courses à faire
Alors, j’ai pas vraiment le temps d’y penser
Je n’affiche pas trop mon blé, j’aime juste dépenser
Peut être que j’y mets trop de décolleté
Mais je veux juste être regardé
Je suis une princesse descendu de son trône
Et dans votre arène je consomme et je prône
Minceur extrême et superficialité
Jeunesse éternelle et individualité
Pourquoi tu me regarde comme ça ? T’es choqué ?
Mais je ne fait pourtant qu’afficher
Les nouvelles valeurs de notre société
Seule mon image connaît le mot réfléchir
Les miroirs sont mes amis et si tu veux guérir
J’ai une recette facile, oublie consomme, fais toi plaisir
Gloss, fond de teint et mascara,
Brushing, fringues de marques, et falbala
Armes de séduction massive, prête à l’emploi
Ce n’est pas d’ma faute à moi
Si j’ai la culture lolita
Faut qu’ ça strass et brille, que ça se retourne ou qu’ j’aille
C’est pas de ma faute si j’ai trop d’ « staïle »
Bouche en avant, seins fiers et droits
Cul en arrière, c’est ça regarde moi !
Mais pas dans les yeux
A l’intérieur ça sonne trop creux
Penser ça donne des rides
Je préfère rester une fille sous-vide.

Je savais pas qu'on pouvais faire de la poésie humoristique Mr. Green

Génial Seru !!

J'adore Very Happy

C'est bien la première fois q j'apprécis un poème 100%, Séru. Ça m'a plut. Bravo!

Hihi ! Je me suis bien marrée en l'écrivant, parce que j'ai vraiment le phénomène type à ma fac...contente que ça vous plaise Wink

Ton poème est génial!

Je viens de découvrir ce topic. Je crois que je vais ressortir des vieux dossiers! Wink

Aller je me lance, c'est aussi l'occasion de les retravailler un peu!

Il est une rose

Je donnerai tout pour une rose,
Cette fleur qui a tout pour être royale,
Tant aucune autre ne peut lui être égale.
On lui offre tellement de prose.

Elle est une fleur pour qui je donnerai toutes les couleurs,
Elle sais satisfaire nos par-terre
Du charme de ses pétales éphémères.
Elle a tant de douceur qu'elle donnerai de ses rougeurs!

Pour vous remercier,
Je vous offre ce poème.
C'est si peu de chose!
A toute celles que j'aime,

Mes roses.

Et puis j'ajoutte un petit texte sympatique que j'ai trouvé sur le net: "

L'écriture en prose est celle... qui n'est pas en vers.
On écrit donc en prose dans la plupart des cas: chaque fois que l'on ne s'impose pas une écriture en vers. La meilleure définition est celle donnée par Molière dans la comédie Le Bourgeois Gentilhomme. C'est d'ailleurs un beau chiasme !

«Tout ce qui n'est point prose est vers et tout ce qui n'est point vers est prose ! » "

Bravo! on va te nommer Grand mamamouchi Mr. Green

En revoyant ce topic je me suis amusée à vous écrire un petit quelque chose :

sans titre

Il est une croix de fer au bout du chemin de terre
Où dans les temps de jadis nous aimions nous rencontrer
Nous discutions des heures sur le monde et sa beauté
Il est une croix de fer au bout du chemin de terre

Un jour en montant ce chemin de terre sur la colline verte
Je vis un corbeau me lancer un destin des plus funeste et s'envola
Un jeune garçon jouant avec une fronde le tua
Un jour en montant ce chemin de terre sur la colline verte

Comme d'habitude je m'assis sur ce banc au pied de la croix
Je t'attendis mais tu ne viendrais pas
Au coeur de la vallée le clocher jouait le glas

L'enfant courait dans le prés chercher la victime de son jouet
Sur mes joues quelques larmes coulaient
Je savais qu'à cette heure-ci jamais je ne te reverrais

Un petit texte que j'ai déjà posté ailleurs et que je vous propose ici. Il est basé sur la méthode des "Je me souviens" popularisée par Georges Perec.

Je me souviens des intersignes de mon enfance, des visions bizarres qui affleuraient sur mes rétines.
Je me souviens de ces longues heures passées à contempler la Mer, sur le rivage de Gard’sign.

Je me souviens de ces Mots alignés à la hâte dans l’obscurité.
Des visions impies du sombre Monolithe.
Je me souviens de cette caverne où chaque nuit je réinventais ma langue, où chaque nuit je redéfinissais un monde à l'abri des regards humains.

Je me souviens des tics qui ont toujours parcourus mon corps, de mes petits rituels obsédants. Je me souviens de mes nerfs toujours à vif.
Je me souviens avoir habiter un corps si étroit, que j’en suis venu à refuser de grandir.

Je me souviens avoir rêver d’une autre vie. D’avoir toujours été un autre (…)

Je me souviens de ce sentiment profond de solitude. De cette impression de toujours voir la réalité au travers d’un prisme déformant. Moi le spectateur de cette vaste farce, de cette mauvaise comédie.
Je me souviens de la colère. De la Haine qui m’habite. De la violence que je m’inflige.
Je me souviens qu’il fut un temps où je jouissais de cette souffrance.
Je me souviens n’avoir éprouvé aucun remords lorsque j’ai fait souffrir.

Je me souviens parce que je suis ce souvenir vivant. Le produit de cette révolte contre un moi qui n’avait pas choisi d’être ainsi. Je me souviens…
Tels est le prix pour qu’un jour je cesse d’être un terroriste du Réel.
Je me souviens pour enfin aller en paix.

Je me
souviens...

Qu’à la flamme de cette bougie et par l’inspiration de la Nourrisse, se consume ces souvenirs…

Bro Naoned, Décembre 2006.

Voilà, depuis quelques temps je me met à écrire des poèmes. Ca me permet de me libérer de certains poids de la vie... si vous voulez aller les voir, vous pouvez y aller en allant sur ce site :

http://porte-de-mon-ame.skyblog.com

N'hésitez pas à me laissez des commentaires, ça me donnerait des idées pour avancer...

Vos poèmes sont super beaux !

Je vais en poster un que j'ai fait il y a un petit bout de temps...

Il existe quatre éléments
Sans lesquels régnerait le Néant

La Terre, l'Air, l'Eau et le Feu ardent
Sont ainsi présents depuis l'aube des Temps

Terre,

Source de sagesse
Qui de tous est la maîtresse
Créer la Vie tu ne cesses
Même lorsque que l'Homme te blesse

Air,

Si précieux, mais si imprévisible
Tu rendre l'Homme futile
Tes colères balaient nos vies graciles
Tes douces brises apaisent nos âmes fragiles

Feu,

Tantôt destructeur et sans pitié
Tantôt réchauffeur de nos cœurs blessés
Tu es craint et respecté
Tu es emblème de la sublimité

Eau,

Vaporeuse, claire et limpide
Tu abreuve l'Homme avide
Tu es le reflet de la Vie lucide
Tu es un joyau splendide

Depuis l'aube des Temps
L'Homme veut maîtriser ces éléments
Pour se sentir puissant
Et régner sur Terre comme il l'entend...

J'en ai des autres sur mon blog des poèmes :

www.porte-de-mon-ame.skyblog.com